A S U A R I U S [1]

abbé de Prüm, mentionné de 762 à 804

Par un diplôme daté du 13 août 762 [2], Trisgodros [3] villa puplica, le roi Pépin avec son épouse Bertrada donne au monastère de Prüm édifié par eux [4] sur des biens propres infra terminos Bidense [5] atque Ardinne [6], ubi rivulus qui dicitur Dethenobach [7] ingreditur in Prumiam [8] en l'honneur du saint Sauveur et de sainte Marie, in pago Charos [9] la villa de Rommersheim [10], tam illa portione, quem de genitore meo Karolo mihi advenit, quam et illa portione ipsius Bertradane, quam genitor suus Heribertus ei in alode dereliquit, sauf 36 mancipia énumérés, et illum mansionilem [11] super Prumia, ubi rivolus qui dicitur Escutsinisbach [12] confluit in Prumiam, … in pago Muslinse [13] … villas … Marningum [14] et Soiacum [15], … in pago Bedinse [16] … Marciaco [17], … in pago Eflinse [18] … Sarabodisvilla [19], … in Carasco [20] … Wathilentorp [21] et Birgisburias [22], … in pago Riboariensi [23] illam portionem in Reginbach [24], quam … genitor meus Karolus mihi in alodem dereliquit, et illam portionem in ipsa villa, quam Heribertus uxori nostrae Bertrade in alodem dimisit, confirme les traditions faites auparavant, donne la cellam…in loco qui dicitur Altrepio [25] … in pago Spirinse [26], la cellam … Casleoca [27], quae est posita infra terminos Sentiaco [28], confirme une troisième cella à Riuuinio [29] in pago Lomense [30], place le monastère et son abbé Asuerus [31] sous sa protection et celle de ses héritiers, accorde le droit à la communauté domni Romani [32] et Vulframni episcoporum [33] introduite par ses soins d'élire l'abbé avec son consentement.
Le 03 août 763 [34], à Maslario palacio publica [35], Pépin accorde l'immunité au monastère de Prüm gouverné par l'abbé Asuarius nouvellement construit par lui et placé sous sa protection ainsi que celle de ses héritiers [36].
Par un mandat non daté [37], le roi ordonne de respecter l'exemption de tonlieux accordée au monastère de Prüm dirigé par l'abbé Asuarius.
Par une charte du 14 février 765 [38], Egidius donne à Prüm ubi uenerabilis uir Asuerus abba et plurima turbe monachorum uidetur esse adunata en Maine en totalité ses uillas … Caueniaco [39], Noua uilla [40], en Rennais, uillas … Nuillaico [41], Duciago [42], Flauiaco [43], Caluiniaco [44], Iuliaco [45], Caniaco [46], Cubicio [47], ainsi que d'autres biens comme précaires de ses fils, en Maine Comnis [48], Uiua aqua [49], Caihaco [50], Fol [51], Patriniaco [52], Altiaco [53], en Anjou, Caluonno [54], Lauiniaco [55], Aueriaco [56], Aurudo [57], Serant [58], Colrido [59], Bron [60], quartam partem de Serant [61], Duniaco [62], en Rennais, Druuio [63], Patriciaco [64], Queuo [65], Bursinas [66], Piriallo [67], Dimisiniago [68], Cuptiago [69], Balatiago [70].
Le 01 juin 767 [71], l'abbé Asuerus, comme convenu dans la charte précédente, accorde en précaire à Botlinus, fils d'Egidius, le quart des biens situés en Maine à Comnis, Uiua Aqua, Aciliaco [72], Fol, Patriniaco, Alciaco [73], en Anjou ceux de Caluonno, Lauiniaco, Aueriaco, Aurudo, Serant, Colrido, Bron, Duniaco et en Rennais ceux situés à Druuio, Patriciaco, Queuo, Bursinas, Piriallo, Dimisiniaco, Cuptiaco, Balaciaco [74].
Le 29 juin 772 [75], Bertrudis et son fils Uuaningus donnent à la basilica s. Petri que est constructa super fluuio Casleuc [76] dirigée par l'abbé Asuerus des biens à Adagane [77] sitam in pago Efflinse [78].
Le 06 septembre 772 [79], Sigifredus obtient en précaire de l'abbé Asuerus les biens in Erlino curte [80], seu et in Osa [81] qu'il avait auparavant donnés au monastère.
A Thionville, en novembre 775 [82], Charlemagne accorde au monastère de Prüm gouverné par l'abbé Asuerus immunité et protection royale, exemption de heribannus [83] et bannus [84] pour tous les homines, qui super terram ipsius monasterii tam franci quam et eclesiastici commanere videntur….
En même temps [85], sur prière de l'abbé Asuerus, il concède au monastère que les homines, quae … Pippinus quondam rex ad ipsum monasterium concessit vel delegavit garderont les mêmes droits et habitudes que des fiscalini [86].
En 776/777 [87], Uualac/Uualane reçoit en précaire de l'abbé Asuerus les biens auparavant donnés au monastère in pago Mosalinse [88] super fluuio Salmonna [89] in uilla qui dicitur Superiore [90] ainsi que deux vignes situées sur la Moselle à Porto Pingontio [91].
Le 18 août 777 [92], l'abbé Asuerus cède à son monastère la uilla … Caciaco [93] en Anjou que lui a confirmée Charlemagne [94] pro animę meę remedio, seu et pro anima … rege Karolo, vel pro anima domnę reginę Hildegardanę,….
Par une charte datée du 27 novembre 777 [95], Gislebertus donne au monastère de Prüm gouverné par l'abbé Asuerus des biens à Uuicus [96] en Bidgau et in pago Carasco [97] à Uualamar-uilla [98].
Le 24 février 778 [99], Helmoinus lui donne un bien situé in pago Carasco à Bidonisuaim [100].
Les Vita et Miracula s. Goaris, composés en 839 par le moine Wandalbert de Prüm [101], rapportent que Pépin avait cédé à titre de bénéfice la cella sancti Goaris [102] à l'abbé Asuerus de Prüm [103] qui, d'après Wandalbert, a gouverné son monastère durant 45 ans [104]. La nouvelle basilique, construite par Asuerus, est consacrée par l'archevêque Lul de Mayence ainsi que les évêques Basinus de Spire et Mehingodus de Würzburg [105]. Du temps de Charlemagne, l'évêque Weomadus de Trèves élève des prétentions sur le lieu [106]. L'affaire n'est définitivement close que lors d'un in Saxonia super fontem, qui Lippia dicitur, generali conuentu [107].
Le 25 juin 786 [108], Uuicbertus reçoit en précaire de l'abbé Asuarius les bien situés à Lullingas [109] et Addeobace [110] et Acaliaimo [111] en Woëvre qu'il auparavant donnés au monastère.
Par un diplôme du 09 juin 790 [112], Mayence, Charlemagne donne au monastère de Prüm gouverné par l'abbé Asoarius les biens confisqués à Alpadus par ledit abbé et Aehardus missi nostri pour le fisc royal et situés en Lahngau [113], Einrichgau [114] et Engersgau [115] à Nasongae [116], in Squalbach [117] et Haonstat [118], in Caldenbach [119] et in Boumhaim [120] atque in Thabernae [121] nec non in Heringae [122] sive Aendrichę [123] et Villare [124] seu in Theodissa [125] vel in Abotisscheid [126] atque in Larheim [127] et supra Hrenum [128] portionem,…, ainsi que omnem legem et compositionem [129] dus par Alpadus.
Le 17 février 797 [130], Aix-la-Chapelle, Charlemagne rapporte qu'il avait cédé et confirmé les rebus sitas in Andecavo [131], villas nuncupatas Lauriaco [132] et Catiaco [133], confisqués avec d'autres biens pour infidélité [134], à l'abbé Asoarius sur foi de ses allégations, comme quoi ces biens lui provenaient de sa mère Wilharana et de sa grand-mère Theodihilda [135]. Par la suite, il s'était avéré que la villa Lauriaco appartenait au fisc [136], et Asoarius avait rendu les deux biens en présence de Charlemagne et de ses grands. Le roi avait alors donné Lauriacum au monastère de Prüm [137], Catiaco à l'abbé Asoarius, sur foi du témoignage des pagenses [138], affirmant que ce bien avait appartenu à Teodilda [139]. Après quelques années, lors d'un différend entre le comte Nuno et l'abbé Asoarius, il avait été prouvé de façon certaine que Theodehildis avait donné cette villa avec d'autres biens à Pépin, et que celle-ci était donc aussi bien royal; mais Charlemagne, pardonnant à Asoarius, quia vir dei esse dinoscitur ex corde puro et sincera voluntate, quia aliud pro aliud quam vir simpliciter nobis retulit et culpabilis atque convictus apparuit, donne les deux biens au monastère et les lui confirme.
Par une charte datée du 26 juillet 800, à Prüm [140], Helmfredus et sa femme Doda donnent au monastère et à l'abbé Asuarius des terres ad prope Kilibergo [141] et à Mainouuis [142] en Bidgau.
La copie non datée d'un contrat de précaire [143] conclu entre l'abbé Asuarius et Uuettana rapporte que Uueta in Christo filia una cum consensu iugali … Autcario [144] a donné au monastère ses biens  qu'elle possède à Dyduno uilla [145] in pago Carouuasco [146] de parte genetricis … Bertradane [147] ainsi que ce qu'elle y a elle-même acquis; sur sa demande, elle obtient de l'abbé ces biens en usufruit pour elle, son mari Autcarius ainsi que leurs filiis et filiabus contre un cens annuel.
Le 12 avril 801 [148], Wetta et son consanguineus Odilbertus, par l'intermédiaire de ce dernier, donnent au monastère les biens déjà cités dans la charte précédente; son frère Gerbertus donne son consentement..
Le 13 avril 801, à Prüm [149], Walafredus donne au monastère de Prüm et à l'abbé Asuarius des biens à Didoneuilla [150], ubi riuolus qui vocatur Nimisaccola [151] fluere videtur.
Le 08 avril 804, Angers [152], Harwicus donne au monastère de Prüm dirigé par l'abbé Asuarius d'importants biens en Anjou à Odane [153] … in condita Regadoninse [154] uicu cum appendicio suo ad Illotilio Leotbodo [155] et in uilla Seguntiato [156]. Haruhic fait établir un exemplaire de la donation [157] destiné à l'enregistrement [158]; il donne mandat au in Christo fratre Aganberto d'obtenir ce dernier à Angers. Pour finir sont consignés  les débats devant la curia andecavis civitate
Une charte du monastère de Fulda du 10 juin 804 [159] mentionne Ansuer abbas comme propriétaire [160] in Teinenheimo marcu [161].
La liste abbatiale du XIe siècle [162], complétée plus tard pour les durées des abbatiats [163], nomme Assuerus abbas comme premier abbé [164] de Prüm avec 45 ans [165]  Tancradus [166] lui succédant.


[1] Autres formes onomastiques: Asuerus, Ansuer, Assuerus.
[2] Liber aureus de Prüm du Xe siècle : Nolden, das "Goldene Buch", fol. 2a-4a p. 15-19 (traduction en allemand n° 4 p. 254-257); MGH DK I n° 16 p. 21-25 ; Beyer, Urkundenbuch, n° 16 p. 19-22 ; Calmet, Lorraine, II, preuves, c. CI-CIII; cf. BM² 95 p. 48-49 ; Oelsner, Jahrbücher,  p. 357-358.
[3] Selon Heinzelmann, Der Weg, et Halfner, Trigorium, il s'agirait de l'actuel Treis (Allemagne, aujourd'hui comm. Treis-Karden, Rheinland-Pfalz, Lkr. Cochem-Zell).
[4] Il s'agit en réalité d'une deuxième fondation, car, déjà en 721, une Bertrada seu Berta et son fils Chairibertus, le futur père de la femme de Pépin, avaient doté un premier monastère (cf. par exemple Gauthier, L'évangélisation, p. 338-340).
[5] Bidgau (cf. Nonn, Beobachtungen, p. 44-52, carte p. 60).
[6] Ardenne (cf. Nonn, Pagus, p. 153-154; Willwersch, Die Grundherrschaft, p. 123 n. 34).
[7] Tettenbach, affluent de la Prüm, confluent près de Prüm.
[8] Prüm, affluent de la Sûre (Sauer).
[9] Charosgau, pagus situé entre l'Ardenne, l'Eifelgau et le Bidgau (cf. Rey, Die Lütticher Gaue, p. 105-106; Willwersch, Die Grundherrschaft, p. 28 et 123 n. 34).
[10] Rumerucoyme: Allemagne, Rheinland-Pfalz, Lkr. Bitburg-Prüm.
[11] Peut-être Niederprüm, annexe de Prüm (cf. Willwersch, p. 27, 122-123 n. 33).
[12] ? Le Michelbach (cf. Willwersch, p. 122 n. 29).
[13] Sur les problèmes que pose la localisation précise du Moselgau, que les actes placent essentiellement sur la Moselle dans la région frontalière franco-luxembourgeoise et des deux côtés de la Moselle dans la région de Thionville-Metz, cf. Nonn, Beobachtungen, p. 52-64, carte p. 60.
[14] Mehring, Rheinland-Pfalz, Lkr. Trier-Saarburg.
[15] Schweich, ibid. (cf. Willwersch, p. 39-43).
[16] Bidgau.
[17] Mötsch, annexe de Bitburg, Rheinland-Pfalz  (cf. Willwersch, p. 37-38, 128 n. 131; Werner, Bedeutende Adelsfamilien, p. 278-279 n. 434; Nonn, Beoachtungen, p. 45).
[18] Première mention de ce pagus (cf. Nonn, Pagus, p. 177). L'Eifelgau fait alors partie du ducatus de Ripuarie (cf. Nonn, p. 164-172, 177-180; carte Ewig, Die Rheinlande, 2, p. 123).
[19] Sarresdorf, comm. Gerolstein, Rheinland-Pfalz, Lkr. Daun-Vulkaneifel.
[20] Charosgau.
[21] Wetteldorf, comm. Schönecken, Rheinland-Pfalz, Lkr. Bitburg-Prüm (cf. Willwersch, p. 31).
[22] Birresborn, Rheinland-Pfalz, Lkr. Daun-Vulkaneifel.
[23] Ripuarie (cf. supra n. 18).
[24] Rheinbach, Nordrhein-Westfalen, Rhein-Sieg-Kreis.
[25] Altrip, Rheinland-Pfalz, Lkr. Ludwigshafen (cf. Willwersch, p. 83-84).
[26] Spirois/Speyergau, pagus compris entre Alsace et Wormsgau (cf. carte Ewig, op. cit., p. 123).
[27] Kesseling, Rheinland-Pfalz, Lkr. Ahrweiler (cf. Willwersch, p. 70).
[28] Sinzig, ibid.
[29] Revin, Ardennes, arr. Charleville-Mézières, ch.-l. cant. (cf. Willwersch, p. 54-55).
[30] Pagus de Lomme, situé au sud-ouest du Hainaut (cf. Nonn, Pagus, p. 143-144).
[31] Cf. aussi Gallia Christiana, t. 13 c. 591.
[32] Romanus, évêque de Meaux, mentionné en 748.
[33 Vulframnus,évêque de Meaux, dirige la communauté de Sainte-Croix de Meaux, attesté de 757 à 769.
[34] Copie du Xe siècle: Nolden, das "Goldene Buch", fol. 4a-5a p. 19-21 (traduction en allemand n° 5 p. 257-258); MGH DK I n° 18 p. 26-27; Beyer, Urkundenbuch, n° 17 p. 22-23; cf. BM² 97 p. 50.
[35] Mellier, comm. Léglise, Belgique, prov. Luxembourg, arr. Neufchâteau (cf. Müller-Kehlen, Die Ardennen, p. 179-183; Schüssler, Die fränkische Reichsteilung, p. 18 n. 119).
[36] Voir supra le diplôme rendu en 762.
[37] Copie du Xe siècle: Nolden, fol. 5a p. 21 (n° 6 p. 258); MGH DK I n° 19 p. 27-28; Beyer, Urkundenbuch, n° 18 p. 23; cf. BM² 98 p. 50, qui pense que ce diplôme a été accordé en même temps que le précédent.
[38] Copie du début du XIIe siècle (cf. Willwersch, Die Grundherrschaft, p. 4-6): Nolden, fol. 102a-103a p. 217-219 (n° 7 p. 259-260); Beyer, Urkundenbuch, n° 19 p. 23-25; Migne, Patrologiae latinae, 96, c. 1552-1554.
[39] Un Chevaigné de la Mayenne ou de la Sarthe (cf. Brunterc'h, Géographie, p. 48 et n. 198; Willwersch, Die Grundherrschaft, p. 87 et n. 809 p. 154; ? Saint-Michel-de-Chavaignes, Sarthe, arr. Le Mans, cant. Bouloire (cf. Weidemann, Bischofsherrschaft, p. 184 n. 81). 
[40] ? Neuville-sur-Sarthe, ibid., cant. Le Mans Nord-Campagne (cf. Weidemann, p. 184 n. 81; Vallée/Latouche, Dictionnaire, p. 679); ? Neuvillalais, Sarthe, arr. Le Mans, cant. Conlie (cf. Willwersch, p. 87 et n. 810 p. 154; Busson/Ledru, Actus, registre p. 575).
[41] ? Guillac, comm. de Vieux-Vy-sur-Couesnon, Ille-et-Vilaine, arr. Rennes, cant. Saint-Aubin-d'Aubigné (cf. Brunterc'h, p. 48); ? un Noyal en Ille-et-Vilaine (cf. Willwersch, p. 87 et n. 811 p. 154).
[42] ? Ducé, comm. La Chapelle-Janson, Ille-et-Vilaine, arr. Fougères, cant. Fougères Nord, ou Ducey, comm. Montreuil-sur-Ille, Ille-et-Vilaine, arr. Rennes, cant. Saint-Aubin-d'Aubigné (cf. Brunterc'h, Le duché, p. 76 n. 278; du même, Géographie, p. 48 n. 206).
[43] Flagé, comm. Céaux, Manche, arr. Avranches, cant. Ducey (cf. Brunterc'h, Le duché, p. 76 n. 278; Willwersch, p. 87 avec une autre proposition). 
[44] Chauvigné, Ille-et-Vilaine, arr. Fougères, cant. Antrain-sur-Couesnon.
[45] ? Juilley, Manche, arr. Avranches, cant. Ducey (cf. Brunterc'h, Géographie, p. 49 n. 209).
[46] Ne peut être identifié de manière certaine (cf. Brunterc'h, p. 49  et n. 210, qui propose avec réserves Chanay, comm. Tremblay, Ille-et-Vilaine, arr. Fougères, cant. Antrain-sur-Couesnon; voir aussi Willwersch, p. 87 avec une autre identification).
[47] N'est pas identifiée.
[48] Cosmes, Mayenne, arr. Château-Gontier, cant. Cossé-le-Vivien.
[49] Vièves, comm. Quelaines-Saint-Gault, ibid. (cf. Brunterc'h, Géographie, p. 44 et n. 169; autre proposition de Willwersch, p. 87 et p. 154 n. 816).
[50] Identification incertaine (cf. Brunterc'h, p. 48 et n. 201; Willwersch, p. 87 et p. 154 n. 817).
[51] ? Le Fou, comm. Champfrémont, Mayenne, arr. Mayenne, cant. Pré-en-Pail (Brunterc'h, p. 48; ? Saint-Germain-le-Fouilloux, Mayenne, arr. Laval, cant. Laval Nord-Est (Willwersch, p. 87 et p. 154 n. 818).
[52] Un Parigné de la Mayenne ou de la Sarthe, peut-être Parigné-sur-Braye, Mayenne, arr. Mayenne, cant. Mayenne-Ouest (cf. Brunterc'h, p. 48 et n.195, 203; Willwersch, p. 87 et p. 154 n. 819).
[53] Aussé, comm. Saint-Mars-sur-la-Futaie, Mayenne, arr. Mayenne, cant. Landivy (cf. Brunterc'h, p. 48; Willwersch p. 87 et n. 120 propose un Assé).
[54] Chauvon, s'étendait primitivement sur les comm. du Lion-d'Angers  (Maine-et-Loire, arr. Segré, ch.-l. cant.) et de Thorigné-d'Anjou (ibid., cant. Châteauneuf-sur-Sarthe). Cf. Brunterc'h, p. 49 et n. 216; Willwersch, p. 87 et n. 821 avec une autre identification. 
[55] Laigné, Mayenne, arr. et cant. Château-Gontier (cf. Brunterc'h, p. 49; Willwersch, p. 87).
[56] ? Un Aviré en Maine-et-Loire ou en Mayenne (cf. différentes propositions de Brunterc'h p. 49 et n. 218; ? Avoir, comm. Longué-Jumelles, Maine-et-Loire, arr. Saumur, ch.-l. cant. (cf. Willwersch, p. 87 et n. 823).
[57] ? Aurudière, métairie, comm. Trémentines, Maine-et-Loire, arr. Cholet, cant. Cholet 2e (cf. Willwersch, p. 87 et n. 824 p. 154).
[58] Serant, comm. Saint-Georges-sur-Loire, Maine-et-Loire, arr. Angers, ch.-l. cant. (cf. Brunterc'h, p. 49 et n. 219; Willwersch, p. 49 et n. 825).
[59] ? Collier, comm. Chacé, Maine-et-Loire, arr. Saumur, cant. Saumur Sud (cf. Willwersch, p. 49 et n. 826).
[60] ? Bron, comm. Corzé, Maine-et-Loire, arr. Angers, cant. Seiches-sur-le-Loir (cf. ibid. n. 827).
[61] Le même que supra n. 58 vraisemblablement.
[62] Duigné, lieu disparu, comm. Mazé, Maine-et-Loire, arr. Angers, cant. Beaufort-en-Vallée (cf. Brunterc'h, p. 50; Willwersch, p. 87 et n. 828).
[63] Drouges, Ille-et-Vilaine, arr. Rennes, cant. La-Guerche-de-Bretagne (cf. Brunterc'h, p. 12 n. 32; Willwersch, p. 87 et n. 829).
[64] Parcé, Ille-et-Vilaine, arr. Fougères, cant. Fougères Sud (cf. Brunterc'h, p. 49; Willwersch, p. 87 et n. 830).
[65] ? Le Quiou, Côtes-d'Armor, arr. Dinan, cant. Evran (cf. Willwersch, p. 87 et n. 831).
[66 ? Bourseul, Côtes-d'Armor, arr. Dinan, cant. Plancoët (cf. Willwersch, p. 87 et n. 832).
[67] Non identifié (cf. Brunterc'h, p. 49).  
[68] Dimaigné, comm. Le Ferré, Ille-et-Vilaine, arr. Fougères, cant. Louvigné-du-Désert (cf. Brunterc'h, p. 49); ? Dingé, Ille-et-Vilaine, arr. Rennes, cant. Hédé (cf. Willwersch, p. 87 et n. 834).
[69] ? Cussé, comm. Saint-Christophe-des-Bois, Ille-et-Vilaine, arr. Rennes, cant. Vitré Ouest (cf. Brunterc'h, p. 49 et n. 214 avec d'autres possibilités).
[70] Balazé, Ille-et-Vilaine, arr. Rennes, cant. Vitré Est (cf. Brunterc'h, p. 49; Willwersch, p. 87 et n. 836).
[71] Copie du XIIe siècle: Nolden, das "Goldene Buch",  fac-similé fol. 89a-89b p. 191-192 (n° 8 p. 260-261); Beyer, Urkundenbuch, n° 21 p. 25-26; cf. Willwersch, p. 87-88.
[72] Willwersch, p. 87, estime que la forme Aciliaco est une corruption de Caihaco (cf. supra n. 50).
[73] Cf. supra n. 53.
[74] Pour tous ces noms de lieu, voir les notes correspondantes de la charte d'Egidius.
[75] Nolden, fac-similé fol. 101b-102a p. 216-217 (n° 10 p. 262-263); Beyer, n° 25 p. 30; cf. Willwersch, p. 70.
[76] Kesselinger Bach. Il s'agit de la cella de Kesseling, Rheinland-Pfalz, Lkr. Ahrweiler.
[77] Adagane ou Hagane: lieu non identifié (cf. Nonn, Pagus, p. 177-178 n. 1090. Peut-être un lieu disparu près de Kesseling. Cf. Janssen, Studien, p. 274; Willwersch, p. 70 et p. 146 n. 548). 
[78] Eifelgau.
[79] Nolden, fol. 86a p. 185 (n° 11 p. 263); Beyer,  n° 23 p. 27-28; cf. Abel, Jahrbücher, I, p. 348-349 n. 5 qui corrige la date.
[80] Hersdorf, Allemagne, Rheinland-Pfalz, Lkr. Bitburg-Prüm (cf. Willwersch, p. 31 et n. 65 p. 125).
[81] Oos, localité de la ville de Gerolstein, Rheinland-Pfalz, Lkr. Daun/Vulkaneifel (cf. Willwersch, p. 33-34 et n. 90 p. 127).
[82] Cartulaire du Xe siècle: Nolden, fol. 5b-6a p. 22-23 (n° 12 p. 263-264); MGH DK I n° 108 p. 153; Beyer, n° 28 p. 33-34; cf. BM² 197 p. 83; Magnou-Nortier, Etude, p. 507 n. 109.
[83] Cf. Niermeyer, Mediae Latinitatis Lexikon, p. 481.
[84] Ibid. p. 82.
[85] Nolden, fol. 45a-45b (n° 13 p. 264-265); MGH DK I n° 109 p. 154; Beyer, n° 29 p. 34-35; cf. BM² 198 p. 83.
[86] Serf du fisc et qui, de ce chef, jouit d'un statut privilégié (cf. Niermeyer, Mediae Latinitatis Lexikon, p. 433).
[87] Nolden, fol. 88a-88b p. 189-190 (n° 16 p. 267); Beyer, n° 30 p. 35-36; cf. Willwersch, p. 43-44. L'acte est daté de la 9e année du règne de Charlemagne.
[88] Moselgau.
[89] Salm, affluent de la Moselle, confluent près de Klüsserath.
[90] Peut-être Salmohr, comm. Salmtal, Rheinland-Pfalz, Lkr. Bernkastel-Wittlich (cf. Willwersch, p. 43-44 et n. 180 p. 132).
[91] Piesport, ibid.
[92] Nolden, fol. 83a-83b p. 179-180 (n° 14 p. 265-266); Beyer, n° 34 p. 38-39; cf. Willwersch, p. 88-89. L'éditeur date cette charte à tort de 787, la 9e année du règne de Charlemagne correspondant à la période du 09 octobre 776 au 08 octobre 777. Cf. BM² Verl. Urk. n° 434 p. 865. A noter que la reine Hildegarda est morte en 783.
[93] Probablement Chazé-sur-Argos, Maine-et-Loire, arr. Segré, cant. Candé (cf. Brunterc'h, Géographie, p. 42 n. 165, p. 50).
[94] Diplôme perdu, cf. BM² Verl. Urk. n° 434 p. 865.
[95] Nolden, fol. 97a p. 207 (n° 15 p. 266-267); Beyer, n° 31 p. 36.
[96] Sefferweich, Rheinland-Pfalz, Lkr. Bitburg-Prüm (cf. Willwersch, p. 34-35).
[97] Charosgau.
[98] Wallersheim, Rheinland-Pfalz, Lkr. Bitburg-Prüm (cf. Willwersch, p. 32).
[99] Nolden, fol. 100b-101a p. 214-215 (n° 17 p. 268); Beyer, n° 32 p. 37; cf. Willwersch, p. 47-48.
[100] Aussi nommé Buodenheim: Büdesheim, Rheinland-Pfalz, Lkr. Bitburg-Prüm (cf. Willwersch, p. 32-33).
[101] Stiene, Wandalbert, p.1-89; MGH SS XV,1 p. 361-373.
[102] Sankt Goar, Rheinland-Pfalz, Rhein-Hunsrück-Kreis. Fondée au VIe siècle, l'histoire de cette cella est entourée de ténèbres jusqu'au règne du roi Pépin .
[103] Wandalbert précise: in palatio, quod Attiniacum uocatur, cum ad generalem populi consentum. Il s'agit vraisemblablement de l'année 765 (Stiene, p. 86-87; cf. BM² 100 b+c; Pauly, Die Stifte, p. 164-165; Willwersch, p. 77; Staab, Untersuchungen, p. 65-66; Goerz, Mittelrheinische Regesten, p. 74 n° 184).  Wandalbert rapporte que Pépin accorde à l'abbé Asuerus constitutionis ei auctoritatem …, ut, cum iter agens ad aliquem iuris regii locum uenisset, licenter, quae itineris essent necessaria, sumeret (Stiene, p. 85-86; MGH SS XV,1 p. 372; cf. Kuchenbuch, Bäuerliche Gesellschaft, p. 56; Brühl, Fodrum, p. 112-113 et n. 455).   
[104] Stiene, p. 85. Mais cf. Boschen, Die Annales, p. 200-201.
[105] Stiene, p. 43. Fraido étant attesté comme évêque de Spire depuis le 25 juillet 782 (cf. Duchesne, Fastes, III, p. 165), cette consécration a eu lieu avant cette date, peut-être un 25 octobre, en 772 ou en 778 (cf. Pauly, Die Stifte, p. 167, 222 § d).
[106] La cella était située dans le diocèse de Trèves (Stiene, p. 87, aussi p. XXXVII).
[107] Il s'agit de celui de l'année 782 (cf. BM² 251 b p. 103). Wandalbert ajoute qu'à cette occasion Charlemagne, après audition sous serment de Ratbertus, causidicus du monastère et d'autres témoins, confirme par diplôme (perdu, cf. BM² 253 p. 104) ladite celle au monastère.
[108] Nolden, fol. 88b-89a p. 190-191 (n° 18 p. 268-269); Wampach, Urkunden- und Quellenbuch, I, n° 49 p. 47-49; Beyer, n° 33 p. 37-38. 
[109] Leudelange/Leideléng, Luxembourg, cant. Esch-sur-Alzette (cf. Wampach, p. 47 n. 49/1; Willwersch, p. 47).
[110] Probablement Dippach/Dippech, Luxembourg, cant. Capellen (cf. Wampach, p. 47 n. 49/2).
[111] Probablement Dahlem/Duelem, comm. Garnich, cant. Capellen (cf. Wampach, p. 47 n. 49/3; Willwersch, p. 134 n. 228).
[112] Nolden, fol. 31a-32a (n° 19 p. 269-270); MGH DK I n° 165 p. 222-224; Beyer, n° 35 p. 39-40; cf. BM² 307 p. 129; Hannig, Pauperiores vassi, p. 335.
[113] in pago nuncupante logonahe: pagus situé autour du cours de la Lahn (affluent du Rhin), autour d'Amöneburg, Gieβen et Limburg (Allemagne, Hessen). Cf. Niemeyer, Der Pagus, p. 164-169.
[114] in pago qui dicitur heinrichi: situé entre Lahn, Rhin et Wisper, affluent du Rhin. Cf. Niemeyer, p. 102-105.
[115] in angrisgouue: pagus situé entre le Rhin à l'ouest, la Lahn au sud,  jusqu'au bassin de la Wied (autre affluent du Rhin) supérieure. Cf. Niemeyer, p. 100-101. Pour ces trois pagi, voir: Geschichtlicher Atlas von Hessen, carte "Die Gaue vor 900".
[116] Neisen (Niederneisen), Allemagne, Rheinland-Pfalz, Rhein-Lahn-Kreis, selon Staab, Untersuchungen, p. 466, Nassau, ibid., selon Willwersch, p. 76. Les Miracula s. Goaris de Wandalbert (c. 11) rapportent que Charlemagne donne au monastère la villa quae Nasonia nuncupatur à l'occasion de la guérison de la reine Fastrada (morte en 794) de maux de dents à Saint-Goar (cf. Staab, Untersuchungen, p. 67-68 n. 259, qui pense que cette donation est différente de celle mentionnée par le diplôme de 790).
[117] Burgschwalbach, Rheinland-Pfalz, Rhein-Lahn-Kreis.
[118] Hahnstätten, ibid.
[119] Lieu disparu, faisant anciennement partie de Kaltenholzhausen, ibid.
[120] ? Bubenheim, lieu disparu près de Dauborn, Hesse, Lkr. Limburg-Weilburg.
[121] Dauborn, localité faisant aujourd'hui partie de la commune de Hünfelden, ibid.
[122] Heringen, localité faisant aujourd'hui partie de la commune de Hünfelden.
[123] Ennerich, Hesse, Lkr. Limburg-Weilburg (cf. Staab, p. 460).
[124] Weyer, ibid.
[125] Diez, Rheinland-Pfalz, Rhein-Lahn-Kreis (cf. Staab, p. 460).
[126] Habenscheid, comm. Wasenbach, ibid.
[127] Lohrheim, ibid. Tous les lieux de ce diplôme d'après Willwersch, p. 76 et notes; Staab, Untersuchungen, p. 67.
[128] Rhin.
[129] Cf. Niermeyer, Mediae Latinitatis Lexikon, p. 602.
[130] Copie du XIIe siècle du cartulaire de Prüm: Nolden, fol. 62a-63b (n° 20 p. 270-271); MGH DK I n° 180 p. 242-244; Beyer, n° 37 p. 41-42; cf. BM² 335 p. 149; Hübner, Gerichtsurkunden, n° 134 p. 22.
[131] Anjou.
[132] Loiré, Maine-et-Loire, arr. Segré, cant. Candé (cf. Brunterc'h, Géographie, p. 42 et n. 165).
[133] Cf. supra n. 93.
[134] aliquorum hominum parentumque suorum.
[135] Diplôme perdu, cf. BM² Verl. Urk. n° 432 p. 865.
[136] Du fait de l'évêque Odilhardus de Nantes et d'autres.
[137] Diplôme perdu, cf. BM² Verl. Urk. n° 433 p. 865.
[138] Cf. Niermeyer, Mediae Latinitatis Lexikon, p. 751-752.
[139] Diplôme perdu, cf. BM² Verl. Urk. n° 434 p. 865.
[140] Nolden, fol. 85b-86a (n° 21 p. 271-272); Beyer, n° 13 p. 16-17. L'acte est daté des années du règne du roi Charlemagne, ce qui a, sans doute, amené l'éditeur a être incertain sur sa date (cf. p. 16, registre). Cf. Willwersch, p. 124 n. 37.    
[141] Kyllburg, Rheinland-Pfalz, Lkr. Bitburg-Prüm (cf. Willwersch, p. 36-37 et n. 119 p. 128).
[142] Lieu non identifié, vraisemblablement proche du précédent (cf. Willwersch, p. 128 n. 120).
[143] Nolden, fol. 86a-87a (n° 25 p. 275-276); Beyer, n° 14 p. 17-18. L'acte a dû être passé avant le suivant du 12 avril 801 (cf. Willwersch, p. 29-30 et n. 56 p. 125). A remarquer que, dans les actes privés, le nom de l'abbé n'est orthographie Asuarius qu'à partir d'une charte de 786, alors qu'auparavant il s'écrivait Asuerus.
[144] L'acte est adressé par Asuarius à filio Autcario (correction de la mauvaise lecture du copiste) siue filia in Christo Uuettane. Cet Autcarius a déjà donné lieu à bien des conjectures (cf. par exemple Hlawitschka, Die Vorfahren, p. 79-80 n. 34).
[145] Aussi Didunthorpf: Dingdorf, Rheinland-Pfalz, Lkr. Bitburg-Prüm. Cf. Willwersch, p. 29.
[146] Charosgau (cf. Willwersch, p. 123 n. 34).
[147] Impossible de dire s'il y a un rapport avec la famille de Bertrada, femme du roi Pépin.
[148] Nolden, fol. 87b-88a (n° 23 p. 273-274); Lamprecht, Ungedruckte Stücke, p. 64; cf. Willwersch, p. 30 et n. 56 p. 125; Goerz, Mittelrheinische Regesten, n° 2280 p. 701.
[149] Beyer, n° 39 p. 44; cf. Willwersch, p. 30.
[150] Dingdorf, Allemagne, Rheinland-Pfalz, Lkr. Bitburg-Prüm; Cf. Willwersch, p. 125 n. 58.
[151] Nims, affluent de  la Prüm.
[152] Nolden, fol. 97b-99b (n° 26 p. 276-280); Beyer, Urkundenbuch, n° 41 et 42 p. 46-49; cf. Willwersch, p. 89-90.
[153] ? Houdonnière, métairie près de Laigné, Mayenne, arr. Château-Gontier, cant. Château-Gontier Ouest (cf. Willwersch p. 155 n. 856; Brunterc'h, p. 50, ne propose pas d'identification).
[154] ou Eregadoninse: s'agit-il , par suite d'une mauvaise lecture du copiste, de Craon, comm. Villevêque, Maine-et-Loire, arr. Angers, cant. Angers Nord Est (cf. Brunterc'h, Le duché, p. 90 et 91 sous "Craon" et "Regadoninsis vicus"; du même, Géographie, p. 50 n. 224).
[155] ? Le Bas-Theil, comm. Niafles, Maine-et-Loire, arr. Angers, cant. Craon (cf. Willwersch, p. 155 n. 855).
[156] ? Leguntiato, lieu disparu près d'Ampoigné, comme Laigné supra. Cf. Willwersch, p. 155 n. 857.
[157] Plus succinct que l'acte de donation, il ne mentionne pas la villa Seguntiato.
[158] = traditio.
[159] Dronke, Codex, n° 216 p. 114; cf. Gockel, Karolingische Königshofe, p. 192-193 n. 1169.
[160] Et voisin de l'évêque Rihboto (de Trèves).
[161] Dienheim, Rheinland-Pfalz, Lkr. Mainz-Bingen.
[162] Nolden, op. cit., fac-similé fol. 108b p. 230; MGH SS XIII p. 302-303.
[163] Du temps de l'abbé Gerardus (mort en 1212). Cf. Boschen, Die Annales, p. 200-201; Willwersch, op. cit., p. 5-6.
[164] Ce qui est une erreur, un certain Angloaldus étant attesté comme abbé de Prüm lors de sa première fondation en 721 (Nolden, das "Goldene Buch", fac-similé fol. 82a-83a p. 177-179 (n° 1 p. 252-253); Beyer, Urkundenbuch, n° 8 p. 10-11).
[165] Cette durée a certainement été empruntée à Wandalbert (cf. supra; Boschen, op. cit., p. 200).
[166] Attesté pour la première fois dans une charte du 25 juillet 804 (Nolden, op. cit., fac-similé fol. 95b et n° 27 p. 280; Beyer, op. cit., n° 43 p. 49-50).