[1] Variantes: Adalgerius, Adelgarius.
[2] Annales regni Francorum et Ann. q. d. Einh. a. 760, MGH SS rer. Germ. [6] p. 18-19; Annales Mettenses priores a. 760, MGH SS rer. Germ. [10] p. 50; Fragmenta Werthinensia, MGH SS XX p. 2; Reginonis chronicon, MGH SS I p. 557; Chronivon Ademari Cabannensis, Chavanon Jules, Adémar de Chabannes, Chronique (Collection de textes pour servir à l'enseignement de l'histoire), Paris, 1897, p. 60; Chronicon Vedastinum, MGH SS XIII p. 703; Fredegarii continuationes, Haupt Herbert, Quellen zur Geschichte des 7. und 8. Jahrhunderts, Darmstadt, 1982, p. 308-309 (lat./dt.); cf. Rouche Michel, L'Aquitaine des Wisigoths aux Arabes 418-781. Naissance d'une région, Paris, 1983, p. 123; Oelsner Ludwig, Jahrbücher des fränkischen Reiches unter König Pippin (Jahrbücher der Deutschen Geschichte), Leipzig, 1871, p. 343.
[3] Les Ann. q. d. Einh. qualifient Adalgarius et Itherius de duos de primoribus gentis,  Regino ne cite qu'Adalgarius qu'il nomme propinquus de Waifarius, pour Adémar de Chabannes Adalgerius et Iterus sont des comtes. La fausse "charte d'Alaon", fabriquée au XVIIe siècle (Recueil des actes de Charles II le Chauve, roi de France, commencé par Arthur Giry, continué par Maurice Prou, terminé et publié sous la direction de Ferdinand Lot et Clovis Brunel par Tessier Georges [Chartes et diplômes relatifs à l'histoire de France], II, Paris, 1952, n° 465 p. 536-545), l'appelle Artalgarius et comte, fils du duc Hattho, ce dernier frère du duc d'Aquitaine Hunaldus, père de Waifarius.
[4] Eitherius est peut-être identique au comte Iterius installé par Charlemagne en Auvergne en 778 (MGH SS rer. Germ. 64, 1995, p. 290-293, lat./dt.; cf. Lauranson-Rosaz Christian, L'Auvergne et ses marges, Velay, Gévaudan du VIIIe au XIe siècle. La fin du monde antique? [Les Cahiers de la Haute-Loire], Le Puy-en-Velay, 1987, p. 44-45, 186-187).

20 avril 2009