[1] Wicadus, Vuichardus, Vichardus.
[2] Acte perdu, connu par l'analyse de Mabillon, J., Annales ordinis S. Benedicti occidentalium monachorum patriarchae, 2, Paris, 1704, p. 233; cf. Poupardin, René, Recueil des chartes de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés des origines au début du XIIIe siècle, 1, Paris, 1909, n° 18 p. 29.
[3] Mabillon, supra n. 2, p. 233 avoue ne pas savoir si cet abbé est identique à l'abbé de Novalaise de ce nom; cf. Poupardin, supra n. 2, p. 29 n. 1. Cf. infra n. 6.
[4] Lieu non déterminé, cf. Longnon, Auguste, Polyptyque de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés rédigé au temps de l'abbé Irminon, 2 volumes, Paris, 1886-1895, p. 196, 200.
[5] Rhodon, nom de plusieurs cours d'eau, cf. Longnon, supra n. 4, p. 200 n. 4. Un Rhodon est un ruisseau des Yvelines, affluent de l'Yvette et sous-affluent de la Seine par l'Orge.
[6] Comme ce nom n'est pas très répandu (Förstemann, Ernst, Altdeutsches Namenbuch. 1: Personennamen, 2. Auflage, Bonn, 1900, ND Hildesheim, 1966, c. 1584), on peut relever un Wichadus, missus du roi Pépin à Rome vers 760/762 (Codex Carolinus n° 22, MGH Epist III p. 525-526). Peut-être ce dernier a-t-il fait la connaissance en Italie du futur abbé de Novalaise Frodoinus (attesté de 773 à 810/814), ce qui pourrait expliquer la donation.
[7] Molinier, Auguste, Obituaires de la province de Sens. I: diocèses de Sens et de Paris, 1 (Recueil des Historiens de la France. Obituaires, 1), Paris, 1902, p. 277.
[8] BnF lat. 13745 du IXe siècle, liste inscrite au XIIe siècle dans la marge de fol. 89v (agrandissement sur papier mis à ma disposition par la BnF le 05.01.1995); aussi BnF lat. 13882 fol. 55v, liste inscrite sur trois colonnes au XIIe siècle, dont je n'ai pu avoir connaissance (cf. Oexle, Otto Gerhard, Die Gegenwart der Toten [Death in the Middle Ages. Mediaevalia Lovanensia, I/9, Leuven, 1983], p. 43 n. 111).
[9] Dernière mention connue le 20 octobre 772 (Chartae latinae antiquiores, ed. by Albert Bruckner and Robert Marichal, publ. by Hartmut Atsma, Jean Vezin, XV: France III, Dietikon-Zurich, 1986, n° 612 p. 74 et suiv.).
[10] La Gallia christiana, VII, Paris, 1744, c. 423 lui donne un abbatiat de trois ans: vix triennio monasterii regimen tenuit ex dicendis. Les Annales sancti Germani Parisiensis du XIe siècle indiquent de manière erronée pour 765: Obiit Lanfredus abbas; cui successit Wicadus abba (MGH SS III, p. 167).
[11] Reçoit le 27 mars 779 un diplôme de Charlemagne (Chartae latinae antiquiores, comme supra n. 9, XVI: France IV, n° 625 p. 38-41).

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30 juillet 2010